C'est Noël dans ma maison!
Une courte entrée présentant les décorations de Noël dans ma maison, édition 2013.
Ça va être du gâteau
Weirdo, geek, historical anthropologist, living with a penguin lover in the shower, and a pre-schooler with more energy than thermonuclear war.
Une courte entrée présentant les décorations de Noël dans ma maison, édition 2013.
Avouez que le temps passe vite et que cela fait trop longtemps que je n'ai pas écrit une ligne dans ce blogue. Vous saurez que j'ai trois entrées en cours de rédaction qui ne sont pas terminées parce que j'ai été malade, mon fils a été malade, mon amour fait de l'insomnie (ce qui me tient réveillée aussi) et c'est la fin de la session. Vous voyez le principe?
Ceci dit, il se passe beaucoup de choses. Ma tante J. est toujours malade, mais a été opérée avec succès. On lui a enlevé plus de 30 cm d'intestin et cureté le reste, par laparoscopie. Elle va bien et devrait commencer une chimiothérapie sous peu, bien que je n'ai pas de détails.
Je n'ai pas de détails parce que mon père est malade. Il a la diarrhée depuis plusieurs jours et est très faible, mais refuse d'aller à l'hôpital, où un homme de son âge avec le flux devrait aller. Ma mère est hors d'elle-même, comme vous le déduisez. J'ai un peu d'information à travers ma soeur, mais c'est un peu comme le jeu du téléphone; les détails se transforment.
J'espère terminer la première mouture de mon article en retard depuis septembre au plus tard la semaine prochaine. Je pense que je l'enverrai dès que j'aurai corrigé les fautes, sans trop d'autres modifications. Je laisserai au correcteur et à l'édition le soin de mettre de l'ordre dans le tout. Un article en retard avant Noël avec des défauts est mieux qu'un article l'année prochaine mais parfait.
Au moins, mes cadeaux de Noël sont tous achetés. C'est ça de bon. Je compte envoyer les cartes de Noël en fin de semaine. Elles sont prêtes et pour la plupart ne doivent qu'être adressées. Les décorations de Noël sont choisies (dans ma tête du moins), mais je n'ai pas encore fait l'inventaire. Nous devons nous débarrasser d'un nombre non négligeable de boules de plastique et de cossins du Dollorama, qui ont depuis été remplacées pas des décorations de meilleure qualité ou faites mains. Il y a des limites. Je ferai cela samedi 6 et dimanche 7. Je voulais un peu plus de flexibilité pour le calendrier de l'Avent, alors j'en ai fait un autre. Nous avons toujours les 24 petites chaussettes numérotées, mais elles prennent de la place. J'ai donc cousu 24 petits sachets que j'ai numérotés qui sont accrochés sur trois branches rattachées à une corde. Je l'accroche samedi soir pour que cela soit une surprise pour le Chaton. Dans les sachets, j'ai alterné des petits chocolats, des dés (verts), des petites voitures (surtout vertes) et deux zambonis (dont une verte). Le Chaton est mieux d'aimer parce que je me démène pour lui, le Chaton.
La session se termine dans quelques semaines. Il ne reste que deux semaines de cours pour moi, puis de la correction jusqu'aux oreilles. Il est plus que temps de faire le point.
Je dois dire que ma session d'enseignement s'est très bien déroulée dans l'ensemble. Mes étudiants sont intéressés. Ils discutent en classe; même les gênés parlent un peu et je peux dire que tous apprennent. C'est vraiment bien. Je les vois apprendre à regarder l'histoire d'un autre point de vue, de la perpective des anthrolopogues et des ethnologues, avec tous les avantages et les défauts conséquents. Vraiment plaisant.
De plus, l'entente entre le Département de Français et le Département d'histoire est officielle. L'année prochaine et à tous les deux ans jusqu'à nouvel ordre, je vais donner un cours au Département de Français, en français, dans un de mes domaines de recherche. Je commence en janvier 2015. Il est plus que probable que mon premier cours porte sur la SFQ ou la littérature du genre au Québec ou quelque chose dans ses eaux-là. J'ai très hâte. L'enseignante est plus que satisfaite.
La chercheuse l'est beaucoup moins. Franchement, je suis en retard sur tout, j'ai plusieurs textes qui sont en retard de quelques mois. Et je n'ai toujours réussi à ratrapper mon retard. Mes éditeurs commencent à perdre patience avec moi et franchement moi aussi. Je vais leur envoyer des cartes de Noël pour me faire pardonner à défaut que leur envoyer mes textes, parce que je n'aurai pas tout terminé avant les Fêtes. Le fait est que je ne me suis pas reposée cet été et que mon niveau d'énergie n'est jamais revenu au niveau nécessaire pour travailler de la manière intensive requise pendant une session normale. Il me manque de temps, entre la préparation des cours, l'enseignement et toutes les tâches quotidiennes, et le temps nécessaire à une écriture universitaire de niveau acceptable pour mes éditeurs. J'écris une heure, puis je suis tellement épuisée, il me faut dormir une heure. On avance pas très vite à ce rythme. Bref, j'en dois à beaucoup. J'ai une biographie à terminer, un article, deux critiques de livres, une critique de manuscrit et une critique de dvd en retard; les quatres critiques ne sont même pas amorcées. Je suis poche. Sauvez-moi.
En plus, et tristement, l'ordinateur portable sur lequel j'écris cette entrée commence à donner des signes de mort imminente. J'en suis inquiète et embarassée, parce que je n'ai pas le budget pour le remplacer tout de suite. Je comptais le faire en janvier, mais je ne suis pas sûre que ce laptop survivra jusque là. J'ai envoyé un courriel à qui de droit pour savoir s'il me reste de l'argent dans mon compte de dépenses professionnelles, parce que ça ne sortira certainement pas de mon compte. Triste.
Comme je l'avais prédit et sans aucune surprise, le gouvernement québécois a déjà commencé à changer et ajuster le projet de loi de ladite Charte. D'abord, Drainville a spécifié que la question du crucifix de l'Assemblée nationale sera décidée par les députés. Marois n'a pas spécifié si ce sera un vote selon la ligne de parti, mais franchement on parie que le crucifix s'en va bientôt?
Ensuite, on voit déjà des tentatives évidentes de résoudre les incongruités et les paradoxes dans le texte. Ces tentatives sont gauches, même un peu ridicule, mais on voit une tentative de rendre le document plus cohérent, à commencer par le titre. En dignes héritiers de René Lévesque, le nouveau titre est excessivement long: « Charte affirmant les valeurs de laïcité et de neutralité religieuse de l'État ainsi que d'égalité entre les femmes et les hommes et encadrant les demandes d'accommodements ». Il a quand même l'avantage d'être clair et programmateur. Le document, malheureusement, ne fait pas encore ce qu'affirme le titre, mais déjà les quelques petits ajustements vont dans le bon sens. Le Québec aura peut-être bientôt la Charte qu'il demande, à défaut d'avoir actuellement la Charte dont il a besoin.
Enfin, il ne faut pas négliger le fait que la Charte, une fois adoptée, sera contestée devant les tribunaux canadiens, par des citoyens québécois et par le gouvernement Harper. Jason "non je ne suis pas raciste" Kenney a déjà dit qu'il contestera la Charte des valeurs au nom de la Charte des droits et libertés.
On touche du bois.
Même après quelques jours, je suis encore furax.
En mai dernier, j'ai accepté de servir comme représentante du Bureau d'Équité sur le comité de promotion et de renouvellement de mon département. Mon rôle est de m'assurer que le processus est conforme à la convention collective et à la loi sur l'Équité au travail de l'Ontario. Comme j'ai la formation nécessaire, mais pas la certification*, j'ai contacté ledit Bureau dès le mois de mai et encore en juin pour savoir quand les sessions de certifications auraient lieu. Lorsque ledit Bureau m'a enfin répondu, on m'a transmis les dates des sessions en juin et juillet, à des moments où je n'étais même pas en Ontario. Je les ai contacté encore, pour avoir le temps des séances de septembre, mais je n'ai pas eu de réponse, pas de réponse à aucun de mes courriels.
Nous voici en novembre et lundi je reçois un courriel de l'adjointe administrative du Bureau d'Équité me disant que notre comité contrevient au règlement parce que je n'ai pas la certification et que je dois me retirer avant que le processus soit annulé.
Vous comprendrez que j'ai collé au plafond. Mon courriel, très poli, expliquant en détail mes tentatives répétées pour avoir quelques informations que ce soit, fut répondu par un courriel très sarcastique me disant qu'il n'y avait pas de traces de mes requêtes et que de toutes façons, les horaires des séances sont disponibles sur le site internet du Bureau – celui-là dont l'accès est restraint pas un mot de passe – implicitant que c'était de ma propre faute si je n'avais pas obtenu la certification à temps.
Non, je n'ai toujours pas décollé du plafond.
Une très généreuse collègue qui a la certification a pris le relai et signera les formulaires à ma place. Elle est très gentille. Je suis aussi inscrite à la séance de certification du 20 février prochain et le Bureau d'Équité peut se mettre leur adjointe administrative où je pense.
* Oui, la formation et la certification sont deux choses séparées. Vous avez bien lu.
Ma tante M. est morte, comme je le disais dans ma dernière entrée. Elle sera incinérée cette semaine et les funérailles auront lieu au printemps ou au début de l'été aux Îles. Mon oncle J. se prépare à mourir, sans trop se presser, mais sans se cacher non plus. Ma soeur n'y croit pas, mais ma mère est convaincue. Je suis encline à faire confiance à sa soeur plutôt qu'à sa nièce.
La situation de ma tante J. est pire encore que ce que nous croyions. Elle a effectivement une tumeur opérable mais énorme dans le colon, du côté droit, mais elle a aussi des douleurs inexpliquées derrière l'omoplate gauche et elle fait de la tachycardie. Elle a bien sûr perdu beaucoup de poids, puisqu'elle "mange mou" depuis trois semaines. Ses traitements, dont une chirurgie intestinale, commenceront la semaine prochaine. Nous apprendrons aussi ce qui se passe avec son coeur et son dos. Je ne suis pas optimiste.
Il y a aussi notre meilleur ami S. Il combat un myélome multiple depuis deux ans. Sa conjointe l'a quitté cet été et il doit recevoir une allo-greffe de moelle. Il devait être admis à l'hôpital à Québec Ce matin, mais ils n'ont pas de lit de disponible. Comme il est revenu d'un très court séjour Paris* avec un rhume et une sinusite bactérienne vendredi dernier, il n'aurait pas pu être greffé de toute façon. Ceci dit, il est évident que son système immunitaire est faible, ce qui n'aidera pas à la greffe qui demande beaucoup. Le myélome multiple est un cancer incurable et nous savons tous qu'il est sur du temps emprunté, mais il a mon âge et il mérite de combattre autant que possible pour vivre aussi longtemps que possible, même s'il sait qu'il ne gagnera pas et ne verra probablement pas l'âge de la retraite.
Puis il y a Mamou, qui fait de l'anémie soudaine, sévère et inexpliquée depuis quelques mois. Cela explique sa fatigue constante et son humeur... disons... inégale depuis quelque temps. Il apprendra demain ce qu'il en est, mais un homme de son âge ne développe pas une anémie soudaine pour rien, comme ça, sortant de nulle part. Je ne peux pas m'empêcher de penser qu'une anémie inexpliquée est très souvent le premier symptôme d'un myélome multiple, le cancer qui a tué la mère de Mamou il y a cinq ans. Touchez du bois.
Hier, juste avant 17h, ma tante M. (une des soeurs de ma mère) est morte d'une embolie pulmonaire causée par un cancer du poumon inopérable. Elle ne recevait pas de traitements, ça ne servait à rien. Elle se disait, comme presque tout le monde, qu'elle verrait Noël, mais ma soeur et moi n'y croyions pas. Je déteste avoir raison dans des cas comme ça.
Ma famille* redéfinit le mot "têtu" et ma tante était la plus têtu de ses soeurs. À l'agonie, elle a attendu que son ainée se rende à son chevet depuis Troutown jusqu'aux Îles avant de mourir. Ma cousine est arrivée à 16h30 et ma tante est partie à 16h50. Comme je disais, têtue.
Ma tante M. était tout un personnage, de loin la plus étrange des enfants et petits-enfants de mon grand-père maternel, ce qui n'est pas peu dire parce que nous sommes une gang de débiles, moi incluse. Elle était une très bonne cuisinière, presqu'aussi bonne que feu ses deux soeurs ainées qui étaient extraordinaires. Un drôle de mélange d'humilité et d'excentricité, elle se déguisait pour un tout, pour un rien, parce ça lui tentait cette journée-là. Elle était une joueuse de carte exemplaire et une très mauvaise perdante. Elle se faisait varloper au SkipBo par mon cousin G. plusieurs fois par semaine. Ma tante était la personne la plus superstitieuse que j'ai jamais connue. Ses peurs étaient complètement ridicules et elle le savait, mais y croyait quand même. Depuis son adolescence, pendant 60 ans au moins, elle a joué "à la quigne" (ou à la King, personne ne l'a jamais su), un jeu de son invention, à mi-chemin entre donner "la tague" et jeter le mauvais sort. Elle élaborait des plans particulièrement complexes pour donner la quigne et ne pas être la dernière à l'avoir, au cas où cela porterait malheur. Mamou était devenu un de ses adversaires préférés à la King et il partageait son bonheur. Elle était aussi légèrement compulsive, mais cela allait avec le personnage.
Elle va me manquer beaucoup.
Malheureusement, mon oncle J.-F., celui qui est son ainé d'un an à peu près, a décidé qu'il partirait en même temps qu'elle. Ils ont toujours été plus des jumeaux que de simples frère et soeur tellement ils étaient proches. Mon oncle est un joueur de tour et un moqueur invétéré, d'un humour intarissable, riant jaune et noir et toutes les autres couleurs d'une phrase à l'autre. Comme presque tout le monde de ma famille maternelle**, il souffre d'un grave diabète Type II qui est resté sans traitement pendant une décennie au moins, a perdu ses deux jambes, sa santé et son endurance. Il se meurt très lentement depuis 15 ans et le sait, et il a décidé qu'il partirait avec sa soeur. Ne vous trompez pas: il n'aura pas à s'enlever la vie. Il va mourir bientôt parce qu'il a décidé qu'il doit mourir pour rejoindre sa soeur préférée au plus tôt. Je ne veux pas sembler faire un panégyrique de son vivant, mais mon oncle est le plus têtu de ses frères, plus encore que mon grand-père; s'il veut mourir, il va partir plus tôt que tard. Il attendra probablement après Noël pour voir ses enfants et petits-enfants, mais il ne tardera pas. J'avoue, je ne m'inquiète pas trop pour lui. Il ne sera pas seul et tout ce passera bien. Il souffre depuis longtemps et il mérite le repos.
Je suis plutôt inquiète pour ma tante J. Elle est missionnaire au Cameroun depuis des années et est de santé de plus en plus fragile. La semaine dernière, elle a été diagnostiquée d'un cancer du colon à Yaoundé et sera rapatriée à Québec vendredi. Elle sera opérée sous peu. Il y aura des traitements et ce sera difficile. Ma tante J. est malade depuis des lunes et se plaignait de maux de ventre depuis au moins un an. Même si elle est la plus jeune de mes oncles et tantes, juste avant ma mère et ma tante L., elle a quand même 75 ans. Une chirurgie de l'intestin est difficile même pour quelqu'un en bonne santé. Ce sera sérieux. Comme ma tante est religieuse, elle n'a pas d'enfant. Mes cousines et ma mère seront à son chevet, je sais, mais elles seront moins disponibles parce qu'elles organisent la succession de M. et l'agonie de J.-F.
Comme nous sommes dispersés partout au Québec et ailleurs, les funérailles de M. (et probablement de J.-F.) auront lieu au printemps (probablement ensemble), de manière à ce que tous les cousins puissent se rendre aux Îles plus facilement. J'ai manqué les funérailles de mes tantes Y. et L., je ne veux pas en manquer une autre.
* Par "ma famille", je fais référence à la famille de ma mère. Je n'ai pas de famille du côté de mon père (sa soeur est morte sans enfants), mais j'ai beaucoup de famille du côté de ma mère. Mes grands-parents maternels ont eu 14 enfants vivants et ces derniers ont eux 54 enfants collectivement. Jusqu'au décès de mon cousin G. il y a deux ans, nous étions une gang de débiles de 54 cousins germains, dont l'écrasante majorité se connait et se fréquente. Je suis l'avant-dernière. Mon cousin G. à plus de 35 ans de plus que moi. Comme je disais, une grosse gang de débiles, dispersée aux quatre coins du Québec et moi la seule hors province.
** Jusqu'aux cancers de mon cousin G. et de mes tantes M. et J., l'unique cause de mortalité dans ma famille maternelle, depuis quatre générations au siècle dernier, est liée au diabète de Type II. Je n'exagère pas, nous connaissons très bien notre généalogie; toutes les mortalités du côté de ma mère, jusqu'à la génération de l'arrière grand-mère de ma mère, ont été causées par des problèmes cardiaques ou vasculaires liés au diabète de Type II. Tous. Pour ainsi dire, je sais de quoi je vais mourir.
"Sylvain the Painter" (c'est ce que dit sa carte) est à la maison depuis hier et y sera jusqu'à jeudi à peintre presque toute la maison. Il ne peindra pas les chambres et la grande pièce au sous-sol et c'est tout. La maison sent la peinture, mais les couleurs sont belles. La salle de bain est blanche avec un mur d'accent "Ardoise", un gris bleu foncé. Cette même couleur se trouve sur le dosseret de la cuisine (je n'ai pas de tuiles) et dans le W.C. près de l'entrée. Cette couleur est un peu plus bleue que je m'y attendais et ne s'accorde pas tout à fait avec les comptoirs de la cuisine et du W.C., mais je crois bien que cela ne dérangera personne sauf moi et des décorateurs professionnels. Les pièces principales et les escaliers sont un taupe clair nommé "Soie brune"; les moulures et les plafonds sont les moulures et les plafonds sont "Blanc nébuleux" (un blanc qui ressemble vraiment à de la crème sortie du pie). Dans le salon, il y aura deux murs d'accent, un beau turquoise nommée "Côte bretonne" (décidément, ceux qui nomment les couleurs en fument du bon). J'en profite pour mettre à jour les rideaux du salon. Les précédents étaient faits de draps que j'avais cousus en rideaux. Ils étaient tout à fait fonctionnels, mais maudit, après sept ans, je mérite de vrais rideaux et du voilage. Les rideaux sont en imitation soie plissée, brun, beige et turquoise, coordonnés avec les meubles et les murs. Le seul hic est que je les ai trouvés chez Walmart. Je le sais, mea culpa, mea maxima culpa. Je mettrai aussi peut-être les coussins à jour. Ils ont quatre ans et commencent à paraître gris où ils ne sont pas tachés de crème glacée et de yogourt.
Je rajouterai les photos du salon dès que Sylvain l'aura peint, demain probablement. Il a terminé la cuisine et le placard, et travaille sur la salle à manger et les escaliers aujourd'hui. Il devrait avoir tout terminer jeudi et je compte retoucher les murs du sous-sol cette même journée.
Ajout, 25 octobre 2013: le salon et les rideaux!